Coronavirus, krach boursier : l'immobilier plus que jamais valeur refuge
L’immobilier a toujours été une « valeur refuge », de quoi permettre aux épargnants de mettre leurs avoirs à l’abri d’un krach boursier ! La crise du COVID-19 devrait encore une fois inciter les investisseurs à se tourner vers un placement sûr : l’immobilier !
Alors que l’ensemble des bourses mondiales dévissent, que l’économie ralentit, que l’incertitude grandit, anticiper les retombées économiques du confinement et du Covid-19 est évidemment difficile à faire. Pour certains, la crise immobilière est inévitable, les prix chuteront, pour d’autres, l’immobilier est et sera toujours une valeur refuge, le meilleur moyen de se mettre à l’abri et de préparer l’avenir… Alors que les transactions (pour les particuliers comme pour les professionnels) sont à l’arrêt, que les agences immobilières sont fermées et qu’il n’y a plus d’acheteurs, que faut-il en penser ?
En période d’incertitude, l’immobilier comme valeur refuge…
Qu’est-ce qu’une valeur refuge ? C'est un investissement sur lequel il faut miser en période de crise pour se mettre à l’abri. L’immobilier, comme l’or, en période incertaine, a toujours été considéré comme une valeur sûre ! Cela a été le cas en 2001 lorsque la bulle internet s’est écroulée. Et cela a aussi été le cas en 2008 lorsque les marchés immobiliers ont décroché. Pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui ? Y a-t-il un réel risque de crise de l'immobilier ? Dans le contexte actuel, l’immobilier pourrait continuer d’attirer de nombreux investisseurs. Pour rappel, ces derniers ont représenté entre 20 et 25 % des acheteurs en 2019 …
Des signes encourageants…
Coté taux de crédit, ils restent, malgré une très légère augmentation en début d’année, historisquement bas et ce, grâce au soutien de la Banque Centrale Européenne qui vise à limiter le ralentissement de l’activité économie. Ceci devrait rassurer les investisseurs et laisse présager d’une demande toujours aussi forte à la sortie du confinement.
Rappelons-le, alors que les marchés attendaient une baisse des taux directeurs, dans le sillage la Fed, de la Banque du Canada et de la Banque d’Angleterre, la Banque Centrale Européenne a laissé ses taux inchangés. Elle a également annoncé une série de mesures pour faciliter la liquidité des marchés financiers et les prêts aux entreprises et particuliers. À suivre…